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ce blog est destiné à distraire et informer les plus jeunes d'entre nous, à savoir les enfants de trois à douze ans environ. Au fil du temps et des saisons, des informations, des activités sur le thème de la Nature figurent sur ce blog. Alors bonne visite...
Matrus est le nom que l'on donne affectueusement aux enfants dans ma région natale, la Loire (42).
Homo respectus est un terme que j'ai entiérement inventé. Après les phases d'homo habilis, homo erectus ou homo sapiens, je pense et j'espère sincérement que l'être humain est entré dans une
phase où il prend soin de son environnement pour lui ou pour ses descendances, ses matrus, il est plus respectueux. Il devient homo respectus...
Je vous présente deux enfants car vous les verrez de temps en temps sur les photos des activités manuelles. Il s'agit de mes matrus. Deux garçons de 6ans et 2ans. Melvyn le plus grand est très
intéressé par tout ce qui touche à la nature et Ylan le plus jeune a un caractère fougueux et pas très patient...ce qui va rendre les activités manuelles périeuses et rigolotes.
Pour cette activité j'ai récupéré un vieux livre auprès de mes collègues des médiathèques. L'ouvrage allait partir au pilon, c'est à dire qu'il allait être jeté en déchetterie.
J'ai ensuite découpé un rectangle dans la couverture en carton épais. Cette étape étant dure et délicate j'ai préféré le faire. Ensuite c'est Ylan qui s'est chargé de découper les pages, se servant de mon rectangle comme patron. Je lui ai demandé de mettre la main en haut du livre pour le tenir et de découper vers le bas. De la sorte on évite tout accident.
Le but étant d'évidé le livre sur la moitié de son épaisseur environ. Etape longue et fastidieuse...c'est pourquoi c'est moi qui ai fini le travail de découpe. Une fois cela terminé, on place un plastique à l'intérieur. Personnellement j'ai pris une poche de congélation.
On ajoute ensuite du terreau et on y plante ce que l'on veut du moment que c'est un végétal peu exigeant. Nous avons ramassé une joubarbe au jardin en ce qui nous concerne. On découpe le plastique qui dépasse sur les côtés. On arrose un peu (attention aux débordements). Et voilà un petit élément de déco sympa...enfin je trouve ^^
La première fois que j'ai vu cet animal je me suis demandé sur quoi j'étais tombé et me suis dit : "houaaaaa qu'elle belle salamandre!!". Oui, je suis tombé dans le piège. De retour chez moi j'effectue moult recherches avec comme éléments de déterminations "Salamandre avec liseret rouge orangé sur le dos". Rien...en fait ce bel amphibien n'est autre qu'un triton et plus précisément un triton marbré.
Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas que j'ai la flemme de vous en dire plus mais j'ai trouvé un document très clair qui vous permettra d'en savoir un peu plus. Aussi je vous invite à cliquer sur le lien ci-après.
Cet été quand nous discutions les soirs sur la terrasse un papillon genre sphinx venait butiner après de nous. Je n'ai pas eu le temps de le prendre car, comme vous le savez peut-être déjà leur vol est très rapide, semblable à celui de l'oiseau mouche. Pas plus tard qu'hier je vis une groooossse chenille traverser ma terrasse. cette fois-ci j'ai pu la prendre en photo. Après recherche il s'agirait du Sphinx du liseron ou sphinx à corne de bœuf (Agrius Convolvuli). Cette chenille peut mesure jusqu'à 11 cm de long et faire un peu plus d'1 cm de diamètre. Elle peut être marron comme sur la photo ou verte. Elle possède des stries obliques blanchâtres ou foncées. Elle à une corne sur le postérieur qui peut être entièrement noire ou jaune avec l'apex (la pointe) noire.
C'est sous terre qu'elle effectuera sa transformation après s'y être enfouie et creusée une loge de la taille d'un œuf de poule.
Papillon crépusculaire, son vol peut atteindre 100 km/h. Vitesse de croisière: 50 km/h sur de longs trajets. Ce qui lui permet de traverser mers et montagnes et de migrer en petits groupes de manière aisée.
Equipé d'une très longue trompe, il butine avec un vol stationnaire précis toutes sortes de fleurs. Son nom n'est pas dû au fait qu'il butine les fleurs de liserons même s'il les apprécie, mais dû au fait que la chenille se nourrit de cette plante (voilà une nouvelle qu'elle bonne...)
Bref voici un second beau spécimen dans notre jardin. Pour découvrir le premier je vous invite à aller voir l'article intitulé "une chenille de taille" posté en 2010 il me semble. Je vous faisais découvrir la chenille du sphinx tête de mort trouvée dans mon potager.
Comme chaque année à cette période les enfants sont ravis de réaliser notre traditionnelle limonade de sureau dont ils raffolent. Ci bien que je n'ai plus besoin de les aider, ils font tout eux même à commencer par la cueillette. En ce qui concerne la recette je la redonne pour les novices et pour leur éviter de chercher dans mes articles précédents.
30gr de fleur de sureau, 800gr à 1 kg de sucre (moi j'opte pour 800gr), un citron couper en tranches, un demi verre de vinaigre blanc. Mélangez le tout dans un bidon ou une jarre dans 7.5L d'eau. Laissez le tout au soleil durant 4 ou 5 jours. Mettez en bouteille avec un muselet. Laissez encore 1 ou 2 jours au soleil et hop au frais. Vous pouvez la consommer rapidement.
Nous avons multiplié des proportions par trois ce qui correspond à environ 30 bouteilles de 0.75L...ha oui pensez à faire le plein de bouteilles vides avant de commencer votre recette.
Pour voir les articles précédents cherchez "une idée qui fait pchiiitt" le 25/05/2010 et un peu après "une idée qui fait pchiiiitttt, la suite" 1er juin 2010. Sur le dernier article je montre comment j'ai réalisé mes muselets car je n'en avais pas de vrais. Attention lors de l'ouverture des bouteilles parfois la pression est énorme...
Pour changer des "traditionnels" beignets d’acacia nous avons opté pour des crêpes. Faites une pâte à crêpe nature (pas de fleur d'oranger ou d'extrait de vanille). Retirez les fleurs de leur tige et mélangez la quantité de fleurs qui vous convient le mieux. Ensuite faites vos crêpes et sucrez...Bon appétit. Pour ceux qui viennent de découvrir mon blog, vous trouverez l'idée des beignets d'acacia dans le titre de l'article MMMmmmmm datant du 19 mai 2010.
du bon cidre pour les adultes et du bon jus de pomme pour les enfants ;)
aujourd'hui quasiment pas de texte car les photos parlent d'elles même. Il y a un petit moment que j'avais vu cette idée sur un bouquin. Depuis, je garde dans le fond d'un placard de vieilles godasses de randonnée ou de travail. Pour le reste voyez par vous même. Maintenant patience...affaire à suivre.
Je ne sais pas vous mais en ce qui nous concerne nous venons d'avoir un week-end fabuleux. Quelques prémices d'une température et d'un temps printannier. J'ai sauter sur l'occasion pour retourner mon potager. De la sorte moi et mes deux jardinier en herbe en avons profité pour planter les oignons et échalotes.
Petite parenthèse, vous remarquerez que j'en ai profiter pour tailler mes framboisiers. Enlevez les bois morts et taillez les framboisiers aux trois-quart en hauteur. N'hésitez pas à les rabattre cela ne leur donnera que plus de pêche...aux framboisiers. J'ai également tailler les groseillers. Bon revenons à nos oignons.
Préparations des bulbilles. Les oignons se planteront tous les 10cm et les rangées seront espacées de 20 cm. Pour les échalotes elles seront plantées tous les 25cm et les rangées espacées de 30 cm. Le sol doit être ressuyé et dans l'idéal sablonneux...bref drainant. Vous les planterez en pleine terre enterrés de 5cm. En cas de sols lourds plantez les en butées.
Pendant que nous étions concentré sur nos plantations nous avons eu l'agréaaaable surprise de voir passer des centaines et des centaines de grues cendrées. Je vous invite à relire des articles précédents sur ce bel oiseau. Des vols en "V" se disperçant au dessus de nos têtes, tournoyants afin de retrouver leur ascendance juste au dessus du vallon se situant devant notre maison, puis se remettant en route en reprenant leur forme caractéristique le tout dans un vacarme reconnaissable même par le plus novice des ornithologues.
Bon la récréation est terminée. Finissons le travail. Les oignons sont en terre au tour des échalotes. Ensuite nous recouvrirons de terre et un petit arrosage. Pour ma part dès qu'ils commenceront à sortir de terre je les butterai à l'aide d'un petit coup de serfouette. En plus de butter cela permettra de désherber entre les rangs. Un bon binage vaut deux arrosages
Bonjour à tous et à toutes, je suis de retour avec mon blog. Je m'y remets pour plusieurs raions:la première est que le fait de publier un nouvel article permet de supprimer toutes les pubs qui se sont incrustées dans mon blog...et d'une.De deux, je trouvais sympa de vous faire part de quelques activités, quelques infos, quelques coups de gueules...et qu'il est dommage que je ne m'y sois pas tenu.De trois cela me fera un prétexte pour bricoler ou m'amuser avec mes petiots (de plus en plus grands), chose que je commençais à perdre et qui me manquait même s'ils sont moins demandeurs (surtout pour le plus grands...pré-adolescence oblige).Bref à bientôt pour un prochain article. BiseLudo PS: promis je ferai un effort en ce qui concerne les fautes d'ortographes...je suis dépité quand je relis de vieux articles
Après quelques mois d'absence je revient avec un petit article sur une activité ultra rapide impulsée par Melvyn. Avant toute chose il faut savoir que nous habitons sur un sol calcaire et qu'il n'est pas rare que nous trouvions beaucoup de fossiles de coquillages. C'est alors que Melvyn, grand chercheur de fossiles, a débarqué dans le salon où je travaillais sur l'ordinateur familial et me dit avec un petit sourire en coin:" Papa je sais comment faire un gros fossile" il m'explique alors ce qu'il veux faire, je me dis que c'est une bonne idée et qu'avec ça je vais donner des nouvelles de mes deux matrus.
J'ai toujours un stock de boites de camembert (vides hihihi) pour réaliser d'éventuels moulages d'empreintes de traces d'animaux. C'est dailleurs sur le même principe que Melvyn et Ylan ont fait leurs fossiles. Il vous faudra une boîte de camembert, du plâtre fin et un objet à mouler (ici un coquillage). Le plus long de l'activité a été de remettre la main sur le plâtre après ça va très vite.
Positionnez le tour de la boîte sans son fond sur le sol, ou dans une vieille assiette. Puis faites votre dosage pour un plâtre pas trop liquide de manière à ce qu'il ne passe pas par dessous le cercle de bois.
Ensuite remplissez les cercles de camembert avec le plâtre.
Petite astuce que j'ai appris en fauconnerie lorsque je préparais les faux oeufs que devait cassé le percnoptère d'Egypte, enduisez un peu l'objet avec de l'huile de cuisine pour faciliter le démoulage
Enfin enfoncer le coquillage dans le plâtre. Pour le temps de séchage, surveillez bien. Cela dépend du dosage de votre plâtre, de la température... Nous cela à durer environ dix minutes. Démoulez et voilà le résultat.
Comme je le disais en début d'article vous pouvez charger un petit sachet de plâtre dans un sac à dos, un peu d'eau, quelques cercles de boîtes de camembert, un petit récipient pour votre mélange et partir à la recherche d'empreintes de chevreuil, de renard, de sanglier. Vous pouvez aussi renouveler l'opération dans votre moulage ce qui vous donnera le coquillage en relief et non en creux. Aller amusez vous et à bientôt.